Dimanche 29 septembre avait lieu la sortie « Teuf-Teuf » destinée en priorité aux véhicules d’avant-guerre qui ne peuvent, hélas, que très rarement participer aux sorties « habituelles ».

Le parcours, aménagé pour ces « mamies », a été concocté, de main de maître, par Alain B., Serge et Gaby.

Le départ fixé à 8h30 à Sorbiers a été légèrement décalé pour tenir compte des conditions météo « extrêmes ». Ce n’est pas pour cela que les « Vétérantes » ont renoncé et tous les inscrits étaient présents.

Cinq membres du club, ne possédant pas de voitures assez anciennes, ont pu prendre place dans les véhicules du club composant le plateau, soit : Peugeot 202 BH, Salmson 461, Citroën Rosalie 10N, Berliet 944, Ford A cabriolet, Citroën Rosalie 8, Renault Monaquatre cabriolet, Citroën C4, rejoints par la Ford A de notre ami Gaby des AAG.

Malheureusement, le temps n’a pas été de la partie et a quelque peu bouleversé la journée. La pause café s’est déroulée à Saint-Galmier, à proximité de la source…………. sous un pont !! mais cela n’a pas entamé la bonne humeur générale.

Et c’est en convoi que les 24 participants dans 9 «Teuf-Teuf » ainsi qu’une voiture plus récente, ont rejoint la propriété de M. et Mme « Le Comte » qui nous ont offert l’hospitalité pour l’apéritif et l’expo de ces belles « d’antan » toutes rutilantes. Le parc du « château » a permis aux photographes de faire de très belles photos, puisque nombre de participants avaient pris la tenue d’époque (chapeau, casquettes, voilettes, costumes, robes longues, tenue de golfeur……).

Puis, toujours en groupe, la «Salmson » en tête, nous avons rejoint Marcoux et son château de Goutelas, où les « Caisses carrées » ont pu se reposer, dans l’enceinte de cette belle demeure, le temps d’un bon repas, choisi par Alain B. et ses assesseurs.

Avant de reprendre la route sous une pluie à nouveau très dense, nous avons découvert l’histoire de la remise en état du château de Goutelas.

Après une dernière pause à la gare de La Fouillouse, pour finir les quelques gâteaux du matin, c’est dans la dernière ligne droite, à l’entrée de La Talaudière, que Marc a fait « le coup de la panne » à Christine.

La Rosalie est tombée en panne sèche, un comble pour cette journée arrosée………………….