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  • : Les Sorbielles, club de véhicules de collection
  • : Association régie par la loi de 1901. L'association est membre de la F.F.V.E. sous le n° 762.Le blog retrace l'activité du club, ses sorties, les manifestations auxquelles il participe, l'organisation de son rallye promenade annuel ainsi que des informations diverses sur les véhicules anciens de collection.
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Vice-Président
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06 23 84 81 83

Trésorier

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06 20 80 78 94
bruyaspatrick@gmail.com
Secrétaire
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06 2312 07 11

E-mail du club

les-sorbielles@laposte.net

20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 21:07

En ce dimanche matin 16 février 2014, pour changer des habitudes très matinales, nous avions rendez-vous à 10h30 sur le quai du Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne.

Le but de la traversée était l’exposition « LE FRANCE ».

La capitaine-guide du navire nous a accueilli au pied de la passerelle et présenté tous les aspects de cette superbe exposition qui clôturera le triptyque des présentations françaises de ce fleuron de la CGT (Compagnie Générale Transatlantique).

Après avoir été amarrée au Havre, puis à Paris, l’exposition a choisi Saint-Étienne comme port d’attache.

Nous avons embarqué dans le hall, au pied des escaliers majestueux, illuminés par les six lettres de l’enseigne du navire.

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Ce bâtiment, «  LE FRANCE », est une prouesse technologique et un défi de notre pays dans le contexte de la guerre commerciale des bateaux transatlantiques de cette époque. Le Savoir Faire Français utilisa au mieux cette vitrine, et c’est non sans une certaine émotion que beaucoup ont chaviré de plaisir en découvrant que les ateliers MARREL de Châteauneuf et l’entreprise COLCOMBET de Saint-Étienne ont, entre autres, été choisis pour participer à la fabrication de ce vaisseau.

A l’issue de la visite, la capitaine-guide a actionné la sirène pour nous quitter, en nous installant sur le pont, sur des transats blancs et bleus, pour visionner un film retraçant le voyage inaugural de ce joyau flottant.

Nous avons admiré la technique et surtout le luxe de ce bateau gigantesque réservé à l'époque à une certaine élite fortuné.

Après un retour sur terre, nous avons traversé la ville pour nous restaurer au « Poivre Rouge ».

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Le repas, peu frugal pour des marins, a été bien apprécié par tous. Nous avons même dégusté du kangourou. C’est vers 16h00 que nous nous sommes quittés, satisfaits de cette journée, le teint hâlé par les embruns de l'océan Atlantique.

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